Les masses affamées ne réclament qu’un seul poème : de la nourriture réconfortante. On ne doit pas la leur donner en aumône. Il faut qu’elles la gagnent à la sueur de leur front.

Les masses affamées ne réclament qu’un seul poème : de la nourriture réconfortante. On ne doit pas la leur donner en aumône.
Il faut qu’elles la gagnent à la sueur de leur front.